La traduction étant une profession non réglementée, à la différence par exemple des avocats ou des médecins, le premier écueil à éviter lorsque vous avez un document à traduire, c’est de faire appel à un traducteur qui ne soit pas un professionnel. Tout un chacun peut se targuer de savoir traduire un texte dès lors qu’il possède une certaine maîtrise de la langue.
Traduire, certes, mais il existe de bonnes et de mauvaises traductions. Un exemple tout simple ? Pour la phrase anglaise « What’s your name ? », une traduction littérale proposera « Quel est ton nom ? », mais une traduction naturelle préférera « Comment tu t’appelles ? ». Attention donc aux exigences d’une traduction en milieu professionnel.
Vous pouvez confier vos travaux de traduction à un traducteur indépendant ou free‑lance, qui, bien que travaillant seul, peut s’avérer parfaitement compétent. Cependant, il sera en tout état de cause limité au niveau de la charge de travail qu’il pourra assumer.
Sur le plan de la quantité, en revanche, pas de difficulté pour les grosses agences de traduction implantées aux quatre coins du globe et dotées d’un réseau étendu de traducteurs externes, qui peuvent absorber des dizaines de milliers de mots en quelques jours. L’inconvénient, c’est qu’elles ne possèdent bien souvent pas de traducteurs en interne. Le travail sera alors réparti entre plusieurs personnes qui ne se connaissent pas ; se poseront alors des problèmes évidents en termes d’homogénéité et d’uniformité du texte traduit.
Mais alors, en cas de dilemme, faut-il privilégier la qualité au détriment de la quantité, ou favoriser la quantité même si la qualité s’en ressent ?
Nul besoin de choisir. Une entreprise à taille humaine comme JLVTRADUCTIONS, disposant en interne d’une équipe complémentaire de traducteurs multilingues, représente en effet un compromis avantageux entre nombre de mots traduits et qualité de la traduction. Au plaisir de vous le démontrer !