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Le traducteur prévoyant

Les personnes qui ont dû gérer une fois dans leur vie une situation dans laquelle une personne a fait un malaise, a fait une chute ou s’est blessée grièvement ou non, ou encore a subi un accident à la suite duquel elle a perdu connaissance ou pire encore, a cessé de respirer, se sont sûrement félicités d’avoir appris les gestes qui sauvent car elles ont été prévoyantes. Elles ont anticipé le danger.

Il en va de même des traducteurs qui appliquent les bonnes techniques et suivent les bonnes procédures pour livrer des travaux de qualité. Ils ont fait preuve de prévoyance en respectant des règles simples et de bon sens.

Comme on apprend aux chefs d’entreprise à supprimer les sources potentielles d’accident pouvant entraîner des blessures plus ou moins graves, les personnes chargées de traduire les textes doivent savoir repérer les « dangers » potentiels dans un texte, les endroits où elles peuvent trébucher et ne pas comprendre le véritable sens d’une phrase.

Cela est particulièrement vrai lorsque le client nous fournit un texte à traduire avec un logiciel d’aide à la traduction car le texte est « saucissonné » et les segments à traduire sont parfois découpés aléatoirement ce qui peut induire en erreur le traducteur peu chevronné. S’il est prévoyant, le traducteur exigera qu’on lui fournisse également le texte dans un format lisible, autrement dit le texte source. S’il ne le fait pas, il risque de faire des contresens en traduisant des légendes de tableaux dans les segments découpés aléatoirement de son logiciel d’aide à la traduction.

Si le client dispose (et c’est souvent le cas) de documents de référence bilingues, le traducteur avisé demandera ces sources de référence pour adapter sa traduction à la terminologie préexistante.

Le traducteur précautionneux apprendra des erreurs du passé, en faisant disparaître ou en atténuant les situations dangereuses. Il ne commettra pas deux fois les mêmes erreurs et cherchera toujours à s’améliorer en tenant compte notamment des remarques des clients sur les travaux qu’il a effectués.

Si les clients font toujours les mêmes remarques, aussi bénignes soient-elles, sur des travaux d’un traducteur, cela signifie que la prévention n’a pas fonctionné, que des leçons n’ont pas été tirées de l’expérience et qu’il faut intervenir pour éviter que le client ne demande la mise à l’écart du traducteur en question et ne choisisse parmi le pool de traducteurs celui qui respecte systématiquement les consignes et les attentes du client en matière de qualité.

Si certaines petites erreurs de traduction sans conséquence peuvent se comprendre parce que la qualité du texte source fourni est exécrable, et si leur réparation peut être comparée à de la bobologie, d’autres sont de nature plus graves et peuvent avoir des effets néfastes, voire entraîner la « mort » d’une relation contractuelle. Toutes les agences de traduction qui font régulièrement appel à des traducteurs externes (ou internes) ont connu plus d’une fois des retours de client non satisfaits. Cela peut aller jusqu’à la réécriture du texte cible quand la qualité de la traduction laisse à désirer. Heureusement, ces cas restent très circonscrits. Le premier travers que le traducteur doit éviter pour rendre une traduction de qualité, c’est de faire une traduction trop littérale. Elle peut d’ailleurs être entachée d’un autre vice : le manque de clarté ou carrément l’incompréhension.

Pour éviter d’en arriver à des situations de crise où il faut mettre en place des services d’urgence, les traducteurs doivent appliquer des règles simples et efficaces.

  • Faire une relecture en se demandant si ce qu’ils ont écrit a un sens et reste compréhensible pour l’homme de l’art et/ou pour Monsieur Tout le Monde.
  • Ne pas reprendre des exemples de traduction piochés sur des sites internet plus ou moins fiables, sans discrimination.
  • Relire systématiquement sa traduction après l’avoir imprimée dans un format prêt-à-livrer.
  • Ne pas faire une confiance aveugle au correcteur orthographique comme font beaucoup de traducteurs. Le correcteur, aussi performant soit-il, ne voit pas certaines fautes.
  • Faire appel à un relecteur qui aura un esprit d’analyse et saura repérer et corriger les imperfections éventuelles de la traduction.

N’oubliez pas ! Un traducteur qui ne prend pas toutes les précautions élémentaires pour effectuer une traduction de qualité peut être comparé à un ouvrier qui manipule une pièce à découper avec une scie industrielle sans protection, en supprimant toutes les sécurités pour augmenter la productivité.

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EN QUELQUES MOTS

« Fort d’une expérience de plus de trente ans dans la traduction, je me consacre à plein temps à cette activité et cette passion dans les règles de l’art en traduisant tous les documents qui font partie de mes domaines de compétences et d’applications, acquis au cours de mes études à l’Institut Supérieur de Traduction et d’Interprétation de Paris, développés et enrichis au cours de ma longue carrière professionnelle »

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JLVTRADUCTIONS est une société de traduction et d'interprétation composée de traducteurs et de chefs de projets plurilingues, située en Normandie. Elle réalise des traductions officielles pour les tribunaux et organismes publics.

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